Autre point important : elle se déroulera comme toujours à Longchamp, mais sur une surface 10% plus petite en raison de la présence d’un practice de golf sur l’hippodrome. Ce qui n'empêche pas Luc Barruet d'être optimiste pour les recettes 2011, le tout grâce à de « bonnes nouvelles de la billetterie » (les pass deux et trois jours ont tous été écoulés).
80 concerts réunissant artistes confirmés et jeunes talents Baptisée « in love », l’édition proposera quelque 80 concerts sur cinq scènes. Elle réunira pour cela, sur trois jours, des artistes confirmés comme AaRON, IAM, Bernard Lavilliers, Gaëtan Roussel, Yodelice, Morcheeba, Katerine, Stromae, Yael Naim.
Mais aussi trois artistes dont Jean-Paul Huchon, le président de la Région, s’est dit particulièrement fan : Moriarty, Pete Doherty (à supposer qu’il sorte de prison à temps) et Moby. Présent lors de la conférence de presse, celui-ci s’est dit impressionné par Solidays, qui « apporte tellement de soutien à la communauté des malades ». Le musicien-chanteur s’y produira d’ailleurs pour la deuxième fois depuis 1999, mais a priori dans de meilleures conditions : il était alors quasi inconnu et, au moment où il jouait, le public avait davantage été attiré par Iggy Pop qui se produisait sur une autre scène de Longchamp, s'est amusé à rappeler Luc Barruet.
Concernant les jeunes talents, ils ne sont pas oubliés, qu’ils soient issus des Tremplins de la Région, des Musiciens du métro ou de Paris jeunes Talents. Un vivier dans lequel la comédienne Emma de Caunes, marraine de l’édition, a d’ores et déjà relevé quatre pépites : Cascadeur, Charles Bradley, True Live, et Assaf Avidan, un chanteur israélien que Luc Barruet considère comme son « coup de cœur ».
Nouveautés et rendez-vous habituels
Parmi les grandes nouveautés de cette édition « in love » (« sous l’angle de l’amour des autres, de l’amour qui rend plus fort dans l’adversité », selon le président de Solidarité Sida), on note un forum des associations à l’architecture high-tech conçue par les élèves de l’École des Ponts Paris-Tech et un espace bien-être pour les festivaliers.
Au-delà, comme d’habitude, Solidays, c’est la possibilité de rencontrer les membres d’une centaine d’associations de lutte contre le sida ou de soutien aux malades, de découvrir des cuisines d’ailleurs (Yémen, Burkina-Faso, Togo, Japon…), le déploiement d’un patchwork de noms de victimes du sida, des expositions («Sex in the city » pour les plus de 16 ans, et une toute nouvelle signée l’agence Magnum). Ou encore des forums donnant la parole à des experts ou des acteurs du sud (certains animés par les journalistes Sébastien Folin et Maïtena Biraben, présents lors de la conférence de presse).
Au-delà, comme d’habitude, Solidays, c’est la possibilité de rencontrer les membres d’une centaine d’associations de lutte contre le sida ou de soutien aux malades, de découvrir des cuisines d’ailleurs (Yémen, Burkina-Faso, Togo, Japon…), le déploiement d’un patchwork de noms de victimes du sida, des expositions («Sex in the city » pour les plus de 16 ans, et une toute nouvelle signée l’agence Magnum). Ou encore des forums donnant la parole à des experts ou des acteurs du sud (certains animés par les journalistes Sébastien Folin et Maïtena Biraben, présents lors de la conférence de presse).