Le Parti socialiste se félicite de la dissolution de trois groupes français d’extrême droite ultra-violents présentant les caractéristiques de milices privées incitant à la discrimination et à la haine.
Conformément au cadre légal qui est celui hérité de la loi du 10 janvier 1936 et qui est inscrit aujourd’hui dans le code de sécurité intérieure (L.212-1), le ministre de l’Intérieur a présenté, ce jour, en Conseil des ministres le décret de dissolution de « Troisième voie », des « Jeunesses nationalistes révolutionnaires » et de l’association « Envie de rêver », ces mouvements d’inspiration fasciste et néonazie qui font tort à la République et à la France.
La responsabilité de la gauche et du gouvernement est non seulement de veiller à ce que ces idées ne prospèrent pas, qu’elles ne trouvent aucune place mais aussi de veiller pour que tous ces mouvements ne bafouent en aucun cas les valeurs de la République.