Deux ans après le début du "Printemps bahreïni", entravé par une répression violente, le mouvement de contestation ne lâche pas prise, même si le pouvoir en place entend empêcher un scénario égyptien dans l'île.
Le Bahreïn, coincé entre l'Arabie Saoudite et l'Iran, ne doit pas être victime de la géographie et les atteintes aux droits de l'Homme qui émaillent la répression doivent cesser.
Le Parti socialiste soutient ceux qui au Bahreïn, à l'instar des mouvements démocratiques dans l'ensemble du Proche et du Moyen-Orient, souhaitent instaurer un État de droit, démocratique et pluraliste, respectueux des minorités et des libertés fondamentales.
Le Parti socialiste soutient l'opposition qui a choisi d'agir de manière pacifique et qui accepte de dialoguer avec le pouvoir.
La Communauté internationale ne doit pas laisser tomber les Bahreïni.