Puis, chacune et chacun a pris conscience que "cracher" sur celles et ceux qui se battent pour relever le pays, n'a pas de sens et n'est pas un projet politique en soi.
Dans notre propre camp, j'ai vu des profils FB désastreux de militants, de responsables ou d'amis du PS, expliquant la douloureuse défaite attendue dans le Doubs, j'ai lu des mails de camarades en responsabilités "théoriser" la claque qui n'est pas venue hier.
J'ai même entendu quelques proches, tenter de m'expliquer qu'il ne fallait pas que je mette le logo du PS dans ma campagne des municipales. J'ai assumé jusqu'au bout. C'est un principe en temps favorable ou défavorable pour mon organisation politique : le PS.
Ce qui s'est passé hier dans le Doubs, est le début de la reconquête. Oui, nous avons fait des erreurs, oui, nous n'avons pas de potion magique permettant d'enrayer le chômage et oui, nous nous battons pour redonner de l'espoir aux millions de Françaises et Français qui attendent des résultats.
Ce qui s'est passé hier est un espoir.
Celui de préserver notre République et ses valeurs.
Frédéric Barbier, candidat de la République, doit remporter le second tour.
J'en appelle à l'ensemble de mes ami-e-s qui habitent cette conscription : Votez et faites voter Frédéric Barbier.