« Le poids des mots, le choc des photos » devise historique de ce magazine dont l’ambition est de contribuer à l’information, enfin presque...
Une nouvelle fois Paris Match s’illustre par l’absurde, par le mépris et pire, par l’insulte à l’endroit de milliers de jeunes, de parents, de responsables associatifs et politiques qui œuvrent au quotidien pour permettre à des familles de se nourrir alors que la crise sanitaire renforce davantage la crise sociale dans les territoires les plus fragilisés.
« Bande organisée » ? N’y a t il pas là une énième volonté de stigmatiser encore et toujours un département déjà fortement affaibli par tant d’arrogance, par tant de souffrances et par tant de méchancetés ?
Pourquoi doit-on supporter tant d’insultes ?
Donc, que des citoyennes et des citoyens décident d’aider les plus fragiles, c’est suffisant pour « titrer » d’une manière abjecte un article ? C’est donc cela « le choix des mots » ?
Quelle honte. J’ai doublement honte pour eux car en Seine-Saint-Denis, oui vous savez ce département si attachant, (et non le NEUF TROIS), lorsque nous décidons de choisir nos mots, ils se situent toujours, telle une boussole, autour de ceux de la solidarité, de l’égalité, de la justice sociale et du respect des autres.
À la « bande organisée », nous y opposons 3 mots : « Associations de Bienfaiteurs ». A eux seuls, ils résument ainsi notre philosophie de vie. À bon entendeur.
Vive la Seine-Saint-Denis et ses habitants 💖
J’adresse à l’ensemble des élu-e-s de notre département, Maires, adjoints, CM, Conseillers régionaux et départementaux et parlementaires, de droite comme de gauche, mes encouragements et mon respect pour tout le travail qu’ils déploient au service des habitants. Nous avons les mains dans le cambouis et nous sommes fiers d’œuvrer pour les autres.
Clin d’œil particulier à mon ami Stéphane Troussel, Président du Département.